Le 31 décembre 2020 a sonné la fin du protocole de Kyoto, premier protocole contraignant entré en vigueur pour lutter contre le réchauffement climatique en 2005. L’accord de Paris adopté à l’issue de la COP21 prend la relève en fixant pour objectif une limite de la hausse des températures globales à moins de 2°C maximum d’ici à la fin du siècle. Un accord dont les quinze premiers signataires sont de petits Etats insulaires aux avant-postes des conséquences du changement climatique, considérant l’accord comme crucial à leur survie. Presque cinq ans plus tard, la situation critique et les périls qui pèsent sur leurs territoires matérialisent les liens entre changement climatique, enjeux de citoyenneté et sécurité.
Changement climatique et territoires insulaires, le droit international submergé
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