A Santiago de Chile, en avril dernier, une dizaine de mandataires latino-américains se sont réunis lors de la première COP prévue par l’accord d’Escazú. Si l’événement fait la part belle à la diplomatie environnementale, s’appuyant sur le droit international et les droits de l’homme, le texte apparaît en revanche comme une avancée en demi-teinte au vu des marges d’appréciations étatiques. Ce multilatéralisme vert n’est pas une affaire de quota de pollution mais englobe des enjeux majeurs de consolidation démocratique et de paix sociale dans une région où l’extraction demeure le moyen principal de développement.
L’ accord d’Escazú, un renouveau pour les droits de l’homme et de l’environnement en Amérique latine
Vous souhaitez en lire plus ?
Abonnez-vous à sd-magazine.com pour continuer à lire ce post exclusif.