Alors que la terre sahélienne perd de sa fertilité, que les pluies se font rares, ou trop violentes, et que la faim gagne les populations locales, l’idée de reboiser la région et de créer une mosaïque d’écosystèmes nourriciers, pour lutter contre la désertification rampante et ses conséquences sociales, est lancée. En 2007, 12 pays s’engagent, sous l’égide de l’Union Africaine (UA), à faire germer une Grande Muraille verte. Près de quinze ans plus tard et bien qu’il ait subi quelques des lenteurs, le projet continue de vivre et connait une nouvelle dynamique en devenant un outil dans la lutte contre le djihadisme dans une région rongée par l’insécurité. La Grande Muraille verte, une source de vie pour faire reculer le fanatisme mortifère. Par Camille Palmers
La Grande Muraille verte, barrage au terrorisme sahélien
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