La pandémie mondiale de Covid-19 a provoqué un ralentissement de l’activité économique ainsi qu’une baisse significative de la demande de pétrole, notamment de la part de la Chine, dont la consommation de pétrole a reculé de plus de trois millions de barils par jour en février. La réunion de l’OPEP+ qui se tenait à Vienne le 6 mars devait étudier les réponses à cette crise. Le refus de la Russie de limiter la production de barils de Brent l’a plongé dans une guerre commerciale avec Ryad. « La Russie a déclenché ce qui pourrait bien devenir la plus dévastatrice des guerres du prix du pétrole de l’histoire récente », confirme le site professionnel Oilprice.com. Les conséquences de ce conflit commercial apparaissent comme chaotiques pour les pays dépendants de l’exportation de l’or noir, et notamment pour l’Irak.
La nouvelle guerre de l’or noir
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