Autrefois capitale du meurtre, le Salvador est devenu l’un des pays les plus sûrs au monde, après l’arrivée au pouvoir de Nayib Bukele, en juin 2019. Le jeune président, propulsé par sa stratégie du météore, décide de mener une « guerre intérieure » contre les bandes criminelles responsables de la violence quotidienne que subissent les Salvadoriens. Depuis lors, le pays s’enfonce dans un virage autoritaire, sous couvert de démocratie et de sécurité nationale. Un peu moins de 2 % de la population se trouvent désormais en prison, grâce à un régime d’exception qui outrepasse les libertés fondamentales. Une méthode brutale, approuvée tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières du Salvador.
Le prix de la démocratie et de la liberté au Salvador
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