Tenter d’endiguer la « pandémie de l’ombre », voilà l’objectif que s’est fixée la Troisième Commission de l’Assemblée générale des Nations Unies, chargée des questions sociales, humanitaires et culturelles en adoptant en novembre dernier un projet de résolution sur les mariages d’enfants, précoces et forcés. Présenté par le Canada et la Zambie et co-parrainé par 114 pays, le texte exhorte la communauté internationale à agir concrètement contre un phénomène mal connu, parfois considéré comme appartenant au passé et pourtant dramatiquement actuel.
Mariages précoces et forcés, l’avenir volé
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